Vincent a été très attiré à son arrivée à Arles par les ponts et en particulier le pont Langlois, dessiné et peint de nombreuses fois.
Il affectionne particulièrement ces ponts-levis (qui lui rappellent ceux de son pays natal ?) et réalise plusieurs études de ce pont.
Il fait envoyer sa peinture « Pont-levis avec une petite voiture jaune » à Teersteg, son ex-patron de La Haye pour le convaincre de ses progrès. Satisfait, il en fait une nouvelle copie pour Théo et considère que « les vergers, avec le “pont de l’Anglais” (appellé ainsi par Vincent) forment une petite série » à laquelle il tient.